Essai qui interroge la validité morale de la violence en tant que moyen dès lors que les fins sont justes. L'auteur soutient que c'est en définitive le droit qui s'octroie le privilège de la violence, puisqu'il serait menacé si elle s'exerçait en dehors de lui. Mais le droit positif constitue pour lui un obstacle à la justice véritable, de sorte qu'il défend l'usage de moyens d'action purs.